Photos d’Ubud - rizières toujours

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Après notre balade à vélo et spectacle de la veille, re-rizières (mais à pied) aujourd’hui. Peut-être bien la plus belle balade du séjour

Début de promenade dans des villages où les coqs de combat sont bichonnés (on verra des proprio leur faire des calins comme à un chien ou chat) et surtout soigneusement enfermés : ils ne errent pas comme les poulest normaux !

On se perd un peu mais très vite on trouve le petit chemin qui surplombe les plus belles rizières en terrasse de notre séjour

Ne pas oublier de se retourner de temps en temps, de regarder en l’air, car là aussi c’est beau ! Et puis les petites fleurs et les araignées sont belles. La vie est belle, vraiment.

Retour vers Ubud en longeant quelques temples - et retour dans la rue principale

Sortie encore ce soir, pour voir un autre type de spectacle : un “kecak. Pas de gamelan cette fois, mais juste un choeur de quatre-vingt hommes qui chantent des épisodes du Ramayana, illustrés par des danses réalisant leur performance au coeur du choeur - franchement impressionnant. Les voix sont magnifiques et complètement envoutantes.
Un résumé des épisodes représentés est distribué à l’entrée - ouf, on arrive à suivre. On a vu au musée des photos de kecak prises dans les années 30 : les danseurs ne portaient pas de costumes alors, et d’ailleurs il n’y avait pas de danseurs à proprement parler : lorsqu’un homme du choeur sentait particulièrement le personnage, il se levait pour le représenter - ça devait être un peu plus confus pour un oeil extérieur comme le notre !

Le spectacle est complété par d’autres danses :
- des jeunes filles qui dansent en transe et tout donne l’impression qu’elles le sont vraiment : elles dansent les yeux fermés et doivent être réveillées par le prêtre ensuite
- un danseur en transe qui marche sur les braises et les disperse à grands coups de pied
Un peu stressant tout ça !

Derniers jours à Ubud : petit tour au marché pour achat de souvenirs, on observe nos potes les lézards dans notre chambre, et dernier coucher de soleil de notre terrasse

Nouvel An : on cherche désespérément un peu d’ambiance - on finit par écouter tranquillement un orchestre dans la cour du temple du Lotus Café (en faisant quelques photos bien sûr) avant qu’un terrible orage n’éclate. On se met à l’abri et on observe les lucioles en attendant la fin du déluge.

Après plus d’une semaine passée ici (alors qu’on ne voulait y rester que quelques jours !), on se décide à partir d’Ubu pour Sanur

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