Arrivée à Surabay sous un terrible orage. Est-ce à cela que l’on doit ce bouchon infernal ou est-ce l’état normal de la circulation ici ? On mettra près de deux heures à rejoindre notre hôtel - et on se félicitera d’avoir choisi un taxi à tarif fixe, sans compteur ! Pas de chance pour le chauffeur, nous venons d’arriver en Indonésie et n’avons pas encore de monnaie en poche : il n’aura même pas droit à un pourboire...

Installation dans une chambre moyenne mais disposant d’une agréable terrasse privative donnant sur un luxuriant jardin

Départ dès le lendemain pour la gare : nous n’avons pas de billet réservé mais on tente le tout pour le tout - bien nous en a pris : le train ne semble pas être le mode de déplacement privilégié des touristes et il reste des places en première (climatisée - un luxe nécessaire : quand parfois la porte du wagon s’ouvre, une bouffée de moiteur chaude nous submerge, difficile d’imaginer un voyage de cinq heures dans ces conditions)

De la fenêtre (présentant un bel éclat, résultat sans doute d’une pierre mal intentionnée) on admire nos premiers paysages de rizières.